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  • Photo du rédacteurLaure-Anne Declochez

Les pleurs du soir Et l’heure du coparent




Nous sommes tous plus vigilants et plus réactifs à la fin de la journée. C’est dans nos gènes. La nuit, pour nous humains, c’était l’heure de tous les dangers.

Le bébé ressent donc cette ambiance mais lui ne la comprends pas. Donc il s’apaise moins facilement, il reste éveillé, et cherche plus les bras, une présence à ce moment de la journée.

C’est un moment fatidique dans la journée car c’est un moment où il va être en décalage avec ses parents qui eux ont leur énergie et leur patience qui baissent.


La maman en congé maternité par exemple aura moins de patience à ce moment là, aura envie que la personne coparent prenne le relai dès que celle-ci rentre.

Mais le coparent revient à ce moment là de l’agitation extérieure, avec des odeurs différentes de celles de la maison, étrangères pour le bébé. Tout le monde peut finir frustré lors de cette heure fatidique.


Il est donc important que le coparent ai un sas avant de s’occuper de son bébé et de la maman : prendre une douche par exemple pour enlever les odeurs de la journée. Et ainsi que ce moment soit précieux.

Pour que la maman se sente soutenue également il est important qu’elle ai un point d’appui et un moment social autre qu’avec seulement le coparent : une amie, un proche de la famille, une doula ...

Traditionnellement on disait qu’il fallait un village pour élever un enfant.

Il faut un village pour traverser cette période qu’est le post partum. Demander du soutien ne fera pas de vous un moins bon parent, ça vous donnera encore plus de patience et de sérénité ❤️

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